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CONCEPT

Le principal enjeu est de donner une échelle humaine à ces ateliers. Ainsi les façades disparaissent et la structure dialogue avec l’architecture.

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Par sa fonction, l'Hôtel de police sort la carte de la mixité avec le public. Le but étant de rompre l’image « clichée » que porte les services de police, montrer qu’ils sont accessibles et qu'il est possible pour les citoyens de vivre quotidiennement aux côtés de la fonction grâce à cette cohabitation inhabituelle. Proposer cette nouvelle image de vie est  l’opportunité de développer une nouvelle éducation populaire. 

Le projet s'implante dans l'alignement de l'atelier voisin. Cela permet de laisser l'espace public à rue libre, symbolisé comme un auvent, tout en restant proche du boulevard urbain afin de faciliter l'accès. 
Des logements (non développés) sont également implantés sous l'atelier afin de refermer l'ilot acollé.

Le projet de l'hôtel de police est séquencé et perméable afin de créer des relations et des interactions entre la fonction privée et le public. 

La fonction de police fait appel à une symétrie et à un rythme particulier.

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Le projet met en avant la particularité du bâtiment : sa structure. Elle caractérise les ateliers et participe à l’identité des lieux.

​la fonction de police fait appel à une symétrie et rythme particulier.

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Une promenade est mise en place dans le but de rapprocher les citoyens de cette structure, créant une atmosphère particulière recherchée.

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L'allée centrale joue le rôle d'espace fédérateur, distributeur de plusieurs fonctions. 

Cet espace est rythmé par différentes séquences grâce aux jeux de pleins et de vides. Ce jeu permet également des vues lointaines et un dialogue entre les différents niveaux. 

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On y retrouve également des volumes "débordants" qui créent une animation et un dynamisme dans l'espace.

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